Modèle de guide d’installation - Serveur de boîtes aux lettres
S’applique à : Exchange Server 2010 SP2, Exchange Server 2010 SP3
Dernière rubrique modifiée : 2016-11-28
Le modèle de guide d’installation qui vous est proposé dans cette rubrique est un point de départ et de référence utile si vous souhaitez documenter de manière formelle les procédures de votre organisation destinées à l’élaboration de serveurs Microsoft Exchange Server 2010 sur lesquels le rôle serveur de boîtes aux lettres sera installé.
Le modèle inclut les sections clés suivantes :
Synthèse
Configuration du serveur
Étapes de vérification
Installation du rôle serveur Exchange
Configuration du rôle serveur Exchange
Annexe : Configuration du serveur
À titre d’exemple, le modèle utilise le nom de l’entreprise fictive Contoso. Vous pouvez également télécharger ce modèle, ainsi que les modèles d’autres rôles serveur, sous la forme d’un package de téléchargement au format de fichier .zip depuis la page des modèles de guide d’installation Microsoft Exchange Server 2010 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkID=187961).
Synthèse
Ce document décrit l’installation et les configurations nécessaires pour installer le rôle serveur de boîtes aux lettres Exchange 2010 sur la plateforme Windows Server 2008.
Justification de l’entreprise
À l’aide d’un guide d’installation, Contoso pourra pérenniser ses efforts de standardisation dans l’entreprise en réduisant le coût total de possession et en simplifiant les procédures de dépannage.
Portée
La portée de ce document se limite à l’installation d’un serveur de boîtes aux lettres Exchange 2010 pour Contoso sur la version x64 du système d’exploitation Windows Server 2008 (SP2 ou R2).
Conditions préalables
L’administrateur doit disposer d’une connaissance approfondie des concepts associés à divers outils et composants, notamment Windows Server 2008, Exchange 2010, la console de gestion Exchange et l’environnement de ligne de commande Exchange Management Shell, ainsi que la ligne de commande et divers utilitaires système. Ce document ne détaille pas les utilitaires système, à l’exception de ceux nécessaires à l’accomplissement des tâches décrites.
En outre, avant la mise en place du rôle serveur, l’administrateur doit consulter la rubrique Vue d’ensemble du rôle serveur de boîtes aux lettres dans la bibliothèque Exchange Server 2010 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=187526).
Hypothèses
Ce document est basé sur l’hypothèse que Windows Server 2008 x64 Edition est installé sur le serveur d’accès au client conformément aux réglementations de base de la société qui incluent les Service Packs et correctifs approuvés les plus récents. De plus, les composants système requis suivants ont été installés :
Microsoft .NET Framework 3.5 SP1 et sa mise à jour. Pour plus d’informations, consultez l’article 959209 de la Base de connaissances Microsoft, La mise à jour pour .NET Framework 3.5 Service Pack 1 est disponible (https://go.microsoft.com/fwlink/?linkid=3052\&kbid=959209).
Windows Management Framework (contient Windows Remote Management 2.0 et Windows PowerShell 2.0).
Ce document part du principe que les étapes de préparation des forêts et domaines ont été exécutées comme décrit dans la rubrique Préparer Active Directory et les domaines dans la bibliothèque Exchange Server 2010 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=187262).
Il suppose également que le compte que vous utiliserez pour les tâches Exchange a été délégué au rôle de gestion Gestion du serveur comme décrit dans la rubrique Gestion du serveur dans la bibliothèque Exchange Server 2010 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=187265).
Enfin, il part de l’hypothèse qu’Exchange 2010 Windows Server 2008 et Windows Server 2008 seront sécurisés conformément aux meilleures pratiques énoncées dans le Guide de sécurité Windows Server 2008 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=122593).
Important : |
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Les procédures décrites dans ce document doivent être suivies successivement, sans quoi vous vous exposez à des résultats inattendus. |
Configuration du serveur
Les supports suivants sont requis pour cette section.
- Fichiers d’installation de Windows Server 2008
Cette section contient les procédures suivantes :
Vérification logicielle supplémentaire
Configuration des interfaces réseau
Configuration du lecteur
Installation des correctifs pour Windows Server 2008
Configuration de l’appartenance au domaine
Vérification des administrateurs locaux
Réinitialisation du mot de passe du compte d’administrateur local
Installation des outils de débogage
Modification des fichiers d’échange
Autorisations du lecteur
Vérification logicielle supplémentaire
Vérifiez que le Bureau à distance est activé.
(Facultatif) Installez le moniteur réseau Microsoft Moniteur réseau (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=86611).
Configuration des interfaces réseau
Connectez-vous au serveur à l’aide d’un compte disposant au minimum de l’accès administratif local.
Cliquez sur Démarrer > Panneau de configuration, puis double-cliquez sur Centre Réseau et partage.
Cliquez sur Gérer les connexions réseau.
Recherchez la connexion pour le réseau interne et renommez-la conformément aux normes d’appellation de votre organisation.
Cliquez avec le bouton droit sur la connexion, puis sélectionnez Propriétés.
Pour le protocole Internet Version 4 (TCP/IPv4), ajoutez les éléments suivants :
Adresse IP statique, Masque de sous-réseau et Passerelle
Adresses IP du serveur DNS
Activez la case à cocher Ajouter des suffixes parents du suffixe DNS principal.
Adresses IP WINS (en cas d’utilisation de WINS)
Si vous utilisez le protocole Internet version 6 (TCP/IPv6), configurez les paramètres IPv6 conformément aux normes réseau de votre organisation.
Configuration du lecteur
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance à l’aide d’un compte disposant de l’accès administratif local.
Cliquez sur Démarrer, Outils d’administration, puis sélectionnez Gestion de l’ordinateur.
Développez Stockage, puis cliquez sur Gestion des disques.
À l’aide du composant logiciel enfichable Gestion des disques de la console MMC (Microsoft Management Console), formatez, renommez et affectez les lettres de lecteur appropriées afin que les volumes et le lecteur de DVD correspondent à la configuration de serveur appropriée. Reportez-vous à l’annexe Numéro d’unité logique/journal de base de données à la fin de ce document pour connaître la configuration de lecteur réelle à utiliser.
Configuration du lecteur
Numéro d’unité logique Lettre du lecteur Utilisation 1
C
Système d’exploitation, fichiers binaires Exchange et journaux de suivi
2
E
Bases de données Exchange
4
L
Journaux des transactions Exchange
5-x
--
Autres lecteurs pour les bases de données et les journaux
6
Z
Lecteur de DVD
Installation des correctifs pour Windows Server 2008
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance à l’aide d’un compte disposant de l’accès administratif local.
Procurez-vous les derniers correctifs approuvés par votre société pour votre version de Windows Server 2008 x64 (SP2 ou R2) et copiez-les sur le serveur.
Lancez le programme d’installation des correctifs de l’une des deux manières suivantes :
Double-cliquez sur le fichier, puis suivez les instructions de l’interface graphique utilisateur (GUI).
Procédez à une installation silencieuse en appliquant la commande suivante dès l’apparition d’une invite de commandes d’administration :
<hotfix>.msu /quiet /norestart
Cliquez sur Oui pour toutes les boîtes de dialogue Signature numérique introuvable susceptibles d’apparaître.
Remarque : Celles-ci ne s’ouvriront pas dans les environnements qui n’ont pas déployé les modèles de sécurité Windows. Attendez que toutes les copies de fichiers soient terminées, puis redémarrez le serveur. Vous pouvez utiliser les options dans l’onglet Processus du Gestionnaire des tâches Windows pour suivre la progression de l’installation des correctifs. Une fois le processus wusa.exe achevé et clos, l’installation des correctifs est terminée.
Configuration de l’appartenance au domaine
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local.
Cliquez sur Démarrer, cliquez avec le bouton droit sur Poste de travail, puis sélectionnez Propriétés.
Sous Paramètres de nom d’ordinateur, de domaine et de groupe de travail, cliquez sur Modifier les paramètres.
Cliquez sur Modifier.
Sélectionnez la case d’option Domaine et entrez le nom de domaine approprié.
Entrez les informations d’identification adéquates.
Cliquez à deux reprises sur OK.
Cliquez sur OK pour fermer la fenêtre Propriétés système.
Redémarrez le serveur.
Vérification des administrateurs locaux
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local délégué.
Vérifiez (ou ajoutez-le si ce n’est pas déjà fait) que le compte Admins du domaine et le compte d’utilisateur qui se chargeront de l’installation d’Exchange sont membres du groupe Administrateurs local sur ce serveur.
Vérifiez que votre compte d’utilisateur appartient à un groupe qui est membre du groupe Administrateurs local sur le serveur Windows Server 2008. Si ce n’est pas le cas, utilisez un compte membre du groupe Administrateurs local avant de poursuivre.
Réinitialisation du mot de passe du compte d’administrateur local
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local délégué.
Cliquez sur Démarrer, cliquez avec le bouton droit sur Ordinateur, puis sélectionnez Gérer.
Développez les nœuds pour accéder à Configuration\Utilisateurs et groupes locaux\Utilisateurs.
Cliquez avec le bouton droit sur Administrateur, puis sélectionnez l’option Définir le mot de passe. Modifiez le mot de passe de manière à ce qu’il réponde aux exigences de complexité.
Installation des outils de débogage
Cette section décrit plusieurs outils utiles qui aideront les administrateurs à gérer Exchange et à résoudre les problèmes de prise en charge qui y sont liés.
Les outils de débogage conçus pour Windows permettent aux administrateurs de déboguer les processus affectant le fonctionnement et d’en déterminer la cause principale.
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local délégué.
Téléchargez et installez les derniers outils de débogage destinés aux versions 64 bits à partir de la page Installer les outils de débogage pour les versions 64 bits de Windows (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkID=123594).
Modification des fichiers d’échange
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local délégué.
Cliquez sur Démarrer, cliquez avec le bouton droit sur Ordinateur, puis sélectionnez Propriétés.
Sélectionnez Paramètres système avancés.
Sous Démarrage et récupération, cliquez sur Paramètres.
Sous Écriture des informations de débogage, sélectionnez l’option Image mémoire du noyau dans la liste déroulante des données d’image mémoire.
Cliquez sur OK.
Sous Performances, cliquez sur Paramètres.
Cliquez sur l’onglet Avancé.
Sous Mémoire virtuelle, cliquez sur Modifier.
Sur les serveurs disposant d’un lecteur de fichier d’échange dédié, procédez comme suit :
Dans la liste Lecteur, cliquez sur C:, puis sur Taille personnalisée.
Pour le lecteur C:, définissez la valeur Taille initiale (Mo) sur 200 Mo au minimum. (Windows nécessite entre 150 Mo et 2 Go d’espace pour le fichier d’échange. La quantité d’espace dépend de la charge du serveur et de la quantité de RAM physique disponible pour le fichier d’échange sur le volume de démarrage lorsque Windows est configuré pour une image mémoire du noyau. Par conséquent, vous devrez peut-être augmenter la taille.)
Pour le lecteur C:, définissez le champ Taille maximale (Mo) sur la même valeur que celle définie dans le champ Taille initiale (Mo).
Dans la liste Lecteur, sélectionnez le lecteur de fichier d’échange (par exemple, le lecteur P:), puis cliquez sur Taille personnalisée.
Entrez le résultat de l’un des calculs suivants dans le champ Taille initiale (Mo) :
Si le serveur dispose de moins de 8 Go de RAM, multipliez la quantité de RAM par 1,5.
Si le serveur dispose de 8 Go de RAM ou plus, ajoutez 10 Mo à la quantité de RAM.
Dans le champ Taille maximale (Mo), entrez la même quantité que celle saisie dans le champ Taille initiale (Mo).
Supprimez tous les autres fichiers d’échange.
Cliquez sur OK.
Sur les serveurs ne disposant pas d’un lecteur de fichier d’échange dédié, procédez comme suit :
Dans la liste Lecteur, cliquez sur C:, puis sur Taille personnalisée.
Pour le lecteur C:, entrez le résultat de l’un des calculs suivants dans le champ Taille initiale (Mo) :
Si le serveur dispose de moins de 8 Go de RAM, multipliez la quantité de RAM par 1,5.
Si le serveur dispose de 8 Go de RAM ou plus, ajoutez 10 Mo à la quantité de RAM.
Supprimez tous les autres fichiers d’échange.
Cliquez sur OK.
Cliquez deux fois sur OK pour fermer la boîte de dialogue Propriété système.
Cliquez sur Non si vous êtes invité à redémarrer le système.
Remarque : Pour plus d’informations sur les recommandations en matière de fichiers d’échange, consultez les articles suivants de la Base de connaissances Microsoft : Comment faire pour définir la taille du fichier d’échange nécessaire aux versions 64 bits de Windows Server 2003 ou Windows XP (https://go.microsoft.com/fwlink/?linkid=3052&kbid=889654) et Présentation des options de fichier d’image mémoire de Windows Vista, Windows Server 2008, Windows Server 2003, Windows XP et Windows 2000 (https://go.microsoft.com/fwlink/?linkid=3052&kbid=254649).
Autorisations du lecteur
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local délégué.
Cliquez sur Démarrer, puis sur Ordinateur.
Cliquez avec le bouton droit sur Lecteur D, puis sélectionnez Propriétés.
Cliquez sur l’onglet Sécurité.
Cliquez sur Modifier.
Cliquez sur Ajouter, puis sélectionnez le serveur local dans la zone Emplacements.
Accordez les droits suivants décrits dans le tableau ci-dessous.
Autorisations du lecteur
Compte Autorisations Administrateurs
Contrôle total
SYSTEM
Contrôle total
Utilisateurs authentifiés
Lecture et exécution, Liste, Lecture
Créateur propriétaire
Contrôle total
Cliquez sur le bouton Avancé.
Sélectionnez l’entrée d’autorisation Créateur propriétaire, puis cliquez sur Afficher/Modifier.
Dans la liste déroulante, sélectionnez Uniquement les sous-dossiers et les fichiers.
Cliquez à deux reprises sur OK.
Cliquez sur OK pour fermer les propriétés du lecteur.
Répétez les étapes 3 à 12 pour chaque lecteur supplémentaire (autre que le lecteur C).
Étapes de vérification
Cette section contient les procédures suivantes :
Vérification des unités d’organisation
Vérification du site Active Directory
Vérification de l’outil Domain Controller Diagnostics (DCDiag)
Vérification de l’outil Exchange Best Practices Analyzer
Important : |
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Les procédures décrites dans ce document doivent être suivies successivement, sans quoi vous vous exposez à des résultats inattendus. |
Vérification des unités d’organisation
Soumettez une demande de changement au groupe d’opérations approprié et déplacez l’objet ordinateur vers l’unité d’organisation adéquate.
Vérification du site Active Directory
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local délégué.
Ouvrez une fenêtre d’invite de commandes.
Vérifiez que le serveur est présent sur le domaine et le site Active Directory appropriés. Dans la ligne de commande, tapez le code suivant :
NLTEST /server:%COMPUTERNAME% /dsgetsite
Le nom du site Active Directory auquel le serveur appartient apparaît. Si le serveur n’est pas situé dans le site Active Directory approprié, envoyez une demande de changement au groupe d’opérations adéquat afin que le serveur soit déplacé vers le bon site Active Directory.
Vérification de l’outil Domain Controller Diagnostics (DCDiag)
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local délégué.
Ouvrez une fenêtre d’invite de commandes et définissez le lecteur C à la place.
Exécutez la commande suivante :
dcdiag /s:<Domain Controller> /f:c:\dcdiag.log
Remarque : Remplacez <Domain Controller> par un contrôleur de domaine situé sur le même site Active Directory que le serveur Exchange. Examinez la sortie du fichier C:\dcdiag.log et vérifiez qu’aucun problème de connectivité avec le contrôleur de domaine local n’existe.
Répétez les étapes 3 et 4 pour chaque contrôleur de domaine du site Active Directory local.
Remarque : L’utilitaire Domain Controller Diagnostics (DCDiag) est un outil de support Windows qui teste la connectivité réseau et la résolution DNS des contrôleurs de domaine. Si le compte utilisé ne dispose pas de droits d’administration, plusieurs tests sous l’en-tête Exécution des tests principaux risquent de ne pas aboutir. Vous pouvez ignorer ces derniers si les tests de connectivité réussissent. En outre, le fichier journal peut signaler l’échec de certains tests de validation des services. Vous pouvez ignorer ces messages si les services n’existent pas sur le contrôleur de domaine.
Vérification de l’outil Exchange Best Practices Analyzer
Les outils d’analyse de Microsoft Exchange aident les administrateurs à résoudre divers problèmes de prise en charge opérationnelle. Connectez-vous à un serveur dans l’environnement sur lequel les outils de gestion d’Exchange 2010 SP1 (ou version ultérieure) sont installés via le Bureau à distance et ouvrez une session avec un compte disposant de l’accès administratif local.
Cliquez sur Démarrer > Tous les programmes > Microsoft Exchange Server 2010, puis sélectionnez Console de gestion Exchange.
Ouvrez le nœud Boîte à outils.
Double-cliquez sur Best Practices Analyzer.
Recherchez et appliquez les mises à jour du moteur Best Practices Analyzer.
Fournissez les informations appropriées de connexion à Active Directory, puis cliquez sur Connexion au serveur Active Directory.
Dans Démarrer une nouvelle analyse Best Practices, sélectionnez Vérification, puis cliquez sur Démarrer l’analyse.
Consultez le rapport, puis intervenez sur les erreurs ou avertissements consignés en vous référant aux articles de résolution inclus dans l’outil Best Practices Analyzer.
Installation du rôle serveur Exchange
Les supports suivants sont requis pour cette section.
- Fichiers d’installation de Microsoft Exchange Server 2010
Cette section contient les procédures suivantes :
Installation des composants préalables d’Exchange 2010 pour :
Windows Server 2008 SP2
- ou -
Windows Server 2008 R2
Installation de Microsoft Exchange 2010
Installation des correctifs cumulatifs d’Exchange 2010
Configuration de la clé de produit
Vérification des performances du système
Création d’une boîte aux lettres de test
Important : |
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Les procédures décrites dans ce document doivent être suivies successivement, sans quoi vous vous exposez à des résultats inattendus. |
Installation des composants préalables d’Exchange 2010 pour Windows Server 2008 SP2
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local.
Ouvrez une fenêtre d’invite de commandes d’administration.
Installez Microsoft Filter Pack. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la section Convertisseur d'Office System 2007 : pack de filtres Microsoft (https://go.microsoft.com/fwlink/?linkid=137042).
Ouvrez une invite de commandes avec élévation de privilèges, accédez au dossier \Setup\ServerRoles\Common sur le support d’installation d’Exchange 2010, puis utilisez la commande suivante pour installer les composants de système d’exploitation requis :
ServerManagerCmd -ip Exchange-MBX.xml -Restart
Installation des composants préalables d’Exchange 2010 pour Windows Server 2008 R2
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance à l’aide d’un compte disposant de l’accès administratif local.
Installez Microsoft Filter Pack. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la rubrique Convertisseur d'Office System 2007 : pack de filtres Microsoft (https://go.microsoft.com/fwlink/?linkid=137042).
À partir du menu Démarrer, accédez à Tous les programmes > Accessoires >Windows PowerShell. Ouvrez une console Windows PowerShell avec élévation des privilèges et exécutez la commande suivante :
Import-Module ServerManager
Utilisez la cmdlet Add-WindowsFeature pour installer les composants de système d’exploitation requis :
Add-WindowsFeature NET-Framework,RSAT-ADDS,Web-Server,Web-Basic-Auth,Web-Windows-Auth,Web-Metabase,Web-Net-Ext,Web-Lgcy-Mgmt-Console,WAS-Process-Model,RSAT-Web-Server -Restart
Installation de Microsoft Exchange 2010
Ce document utilise la méthode de ligne de commande destinée à l’installation des rôles serveur Exchange 2010. Toutefois, vous pouvez également utiliser l’Assistant Installation, soit une interface graphique utilisateur (GUI). Pour plus d’informations sur l’utilisation de l’Assistant Installation pour installer un rôle serveur Exchange 2010, consultez la rubrique Effectuer une installation d’Exchange 2010 personnalisée dans la bibliothèque Exchange Server 2010 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=187220).
Important : |
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S’il s’agit du premier rôle serveur de boîtes aux lettres que vous installez dans une organisation qui ne contient aucune version d’Microsoft Exchange, et si vous disposez d’ordinateurs clients dotés de Microsoft Office Outlook 2003, vous devez également spécifier le paramètre d’installation facultatif /EnableLegacyOutlook. De plus, si c’est le premier rôle serveur Exchange 2010 que vous installez dans un environnement qui ne contient aucune version d’Microsoft Exchange, vous devez également spécifier le paramètre d’installation /OrganizationName. |
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local délégué. Si le serveur Exchange a été mis en service pour une installation déléguée, le compte doit être délégué au rôle Gestion du serveur ou Installation déléguée (ou supérieur).
Suivez la procédure détaillée dans la rubrique Installer Exchange 2010 en mode sans assistance de la bibliothèque Exchange Server 2010 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=187229). Par exemple, la commande suivante installe le rôle serveur de boîtes aux lettres, fournit un nom de base de données personnalisé, le chemin d’accès à la base de données et l’emplacement du fichier journal des transactions.
setup.com /r:M /mdbName: "<Server Name> MBX DB1" /dbfilepath: e:\MBXDB1\priv01.edb /logfolderpath: l:\log01
Ne redémarrez pas le serveur, même si cela est nécessaire.
Installation des correctifs cumulatifs d’Exchange 2010
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis à un compte disposant de l’accès administratif local.
Procurez-vous le dernier correctif approuvé par votre entreprise et copiez-le sur le serveur.
Lancez le programme d’installation des correctifs Windows (fichier MSP) de l’une des deux manières suivantes :
Double-cliquez sur le fichier MSP, puis suivez les instructions de l’interface graphique utilisateur (GUI).
Procédez à une installation silencieuse en appliquant la commande suivante dès l’apparition d’une invite de commandes d’administration :
msiexec /i <Path and filename of MSP file> /q
Cliquez sur Oui pour toutes les boîtes de dialogue Signature numérique introuvable susceptibles d’apparaître.
Remarque : Celles-ci s’ouvriront uniquement dans les environnements qui ont déployé les modèles de sécurité Windows.
Configuration de la clé de produit
Démarrez l’environnement de ligne de commande Exchange Management Shell avec un compte auquel le rôle Gestion du serveur a été délégué.
Suivez la procédure documentée dans la rubrique Entrer la clé de produit de la bibliothèque Exchange Server 2010 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=187234).
Configuration du composant de recherche Exchange Search
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte bénéficiant d’un accès administratif local délégué.
Suivez la procédure documentée dans la rubrique Inscrire les IFilters Filter Pack avec Exchange 2010 de la bibliothèque Exchange Server 2010 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=187516).
Facultatif : si vous souhaitez bénéficier de la possibilité de rechercher des fichiers PDF, installez le composant Adobe PDF iFilter (https://www.adobe.com/support/downloads/detail.jsp?ftpID=5542) et reportez-vous au document relatif à la configuration du composant PDF iFilter pour MS Exchange Server 2007 (http://www.adobe.com/special/acrobat/configuring\_pdf\_ifilter\_for\_ms\_exchange\_server\_2007.pdf).
Remarque : |
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Les informations relatives à des sites Web tiers dans cette rubrique sont indiquées pour vous fournir les informations techniques dont vous avez besoin. Les URL peuvent faire l’objet de modifications sans préavis. |
Vérification des performances du système
Par défaut, Exchange 2010 optimise la gestion des performances des applications du serveur pour les services d’arrière-plan.
Connectez-vous au serveur via le Bureau à distance, puis à un compte disposant de l’accès administratif local.
Cliquez sur Démarrer, cliquez avec le bouton droit sur Ordinateur, puis sélectionnez Propriétés.
Sélectionnez Paramètres système avancés.
Sous Performances, cliquez sur Paramètres.
Cliquez sur l’onglet Avancé.
Vérifiez que l’option Performances des applications est définie sur Les services d’arrière-plan.
Cliquez sur OK.
Création d’une boîte aux lettres de test
Plusieurs tâches de diagnostic utilisées pour l’analyse de Microsoft Exchange nécessitent que vous développiez des boîtes aux lettres de test sur les serveurs de boîtes aux lettres.
Connectez-vous au serveur de boîtes aux lettres Exchange 2010 via le Bureau à distance, puis ouvrez une session à l’aide d’un compte disposant de l’accès administratif local et auquel le rôle Gestion du serveur (ou supérieur) a été délégué.
Cliquez sur Démarrer > Tous les programmes > Microsoft Exchange Server 2010, puis sélectionnez Environnement de ligne de commande Exchange Management Shell.
Remplacez le chemin d’accès au répertoire par <Chemin d’installation d’Exchange Server>\Scripts.
Tapez New-TestCasConnectivityUser.ps1, puis appuyez sur Entrée.
Entrez un mot de passe temporaire, puis suivez les invites de création des boîtes aux lettres de test.
Configuration du rôle serveur Exchange
Cette section contient les procédures suivantes :
Configuration de la première base de données
Configuration de la deuxième base de données
Configuration de la gestion des enregistrements
Configuration du serveur de suivi des messages
Bases de données supplémentaires
Important : |
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Les procédures décrites dans ce document doivent être suivies successivement, sans quoi vous vous exposez à des résultats inattendus. |
Configuration de la première base de données
Si vous avez fourni les paramètres /mdbname, /dbfilepath et /logfolderpath au moment d’installer le serveur de boîtes aux lettres, vous pouvez ignorer cette section.
Démarrez l’environnement de ligne de commande Exchange Management Shell avec un compte auquel le rôle Gestion du serveur a été délégué.
Important : Les valeurs du tableau suivant sont des exemples et non des valeurs recommandées. Passez en revue ces valeurs afin qu’elles reflètent les valeurs réelles de votre organisation. Première configuration de base de données chez Contoso
Paramètre de base de données Ancien Nouvel exemple Nom
Mailbox Database <GUID
NomServeur> MBX DB 1
Chemin d’accès au journal
%ProgramFiles%\Microsoft\Exchange Server\v14\Mailbox\Mailbox Database <GUID
L:\LOG01
Chemin d’accès et nom du fichier de base de données
%ProgramFiles%\Microsoft\Exchange Server\v14\Mailbox\Mailbox Database <GUID>\Mailbox database <GUID>.edb
E:\MBXDB1\Priv01.edb
Pour démonter la base de données, exécutez la commande suivante :
Dismount-Database "Mailbox Database <GUID>"
Pour modifier le nom de la base de données de boîtes aux lettres, exécutez la commande suivante :
Set-MailboxDatabase "<Old DB Name>" -Name "<New DB Name>"
Pour modifier l’emplacement des journaux des transactions de la base de données, ainsi que l’emplacement du fichier de base de données, exécutez la commande suivante :
Move-DatabasePath "<Database Name>" -LogFolderPath "<New Log Location>" -EdbFilePath "<New DB Path and FileName>"
Pour monter la base de données, exécutez la commande suivante :
Mount-Database "<New DB Name>"
Configuration de la deuxième base de données
Si une base de données de dossiers publics a été créée au cours de l’installation du rôle serveur de boîtes aux lettres, elle sera stockée à l’emplacement par défaut. S’il n’existe aucune base de données de dossiers publics, vous pouvez ignorer cette section.
Démarrez l’environnement de ligne de commande Exchange Management Shell avec un compte auquel le rôle Gestion du serveur a été délégué.
Important : Les valeurs du tableau suivant sont des exemples et non des valeurs recommandées. Révisez ces valeurs afin qu’elles reflètent les valeurs réelles de votre organisation. Configuration de base de données de dossiers publics chez Contoso
Paramètre de base de données Ancien Nouvel exemple Nom
Public Folder Database <GUID
NomServeur> PUB Store 2
Chemin d’accès au journal
%ProgramFiles%\Microsoft\Exchange Server\Mailbox\Public Folder Database <GUID
L:\LOG02
Chemin d’accès et nom du fichier de base de données
%ProgramFiles%\Microsoft\Exchange Server\Mailbox\Public Folder Database <GUID>\Public Folder database <GUID>.edb
E:\MBXDB2\Pub02.edb
Pour démonter la base de données, exécutez la commande suivante :
Dismount-Database "Public Folder Database <GUID>"
Pour modifier le nom de la base de données de dossiers publics, exécutez la commande suivante :
Set-PublicFolderDatabase "<Old DB Name>" -Name "<New DB Name>"
Pour modifier l’emplacement des journaux des transactions de la base de données, ainsi que l’emplacement du fichier de base de données, exécutez la commande suivante :
Move-DatabasePath "<Database Name>" -LogFolderPath "<New Log Location>" -EdbFilePath "<New DB Path and FileName>"
Pour monter la base de données, exécutez la commande suivante :
Mount-Database "<New DB Name>"
Configuration de la gestion des enregistrements
Vous pouvez passer outre cette section si la planification par défaut en vue de l’application des paramètres de gestion des enregistrements de messagerie (MRM) au moyen de l’Assistant Dossier géré n’a pas besoin d’être modifiée.
Démarrez l’environnement de ligne de commande Exchange Management Shell avec un compte auquel le rôle Gestion du serveur a été délégué.
Pour activer l’Assistant Dossier géré, exécutez la commande suivante :
Set-MailboxServer <MailboxServerName> -ManagedFolderAssistantSchedule <AssistantSchedule>
Remarque : Pour obtenir les informations dont vous avez besoin au sujet des commandes, reportez-vous au tableau « Configuration de la gestion des enregistrements pour Contoso » dans l’annexe Configuration du serveur à la fin de ce document.
Configuration du serveur de suivi des messages
Vous pouvez ignorer cette section si les paramètres de suivi des messages par défaut sont adaptés à votre environnement.
Démarrez l’environnement de ligne de commande Exchange Management Shell avec un compte auquel le rôle Gestion du serveur a été délégué.
Pour configurer les paramètres de suivi des messages, exécutez la commande suivante :
Set-MailboxServer <MailboxServerName> -MessageTrackingLogPath <LogPath> -MessageTrackingLogMaxAge <MaxAge> -MessageTrackingLogMaxDirectorySize <LogDirSize> -MessageTrackingLogMaxFileSize <LogFileSize> -MessageTrackingLogSubjectLoggingEnabled <SubjectLogEnabled>
Remarque : Pour obtenir les informations dont vous avez besoin au sujet des commandes, reportez-vous au tableau « Configuration du suivi des messages pour Contoso » dans l’annexe Configuration du serveur à la fin de ce document.
Bases de données supplémentaires
Démarrez l’environnement de ligne de commande Exchange Management Shell avec un compte auquel le rôle Gestion du serveur a été délégué.
Pour obtenir les informations dont vous avez besoin au sujet des commandes, reportez-vous aux tableaux appropriés des annexes « Numéro d’unité logique/journal de base de données » et « Configuration de la base de données » à la fin de ce document.
Pour créer la base de données, exécutez la commande suivante :
New-MailboxDatabase -Name "<DB Name>" -LogFolderPath <Transaction Log Location> -EdbFilePath <Database Path and FileName> -OfflineAddressBook <OfflineAddressBook> -PublicFolderDatabase <PFDatabase> | Set-MailboxDatabase -IssueWarningQuota <WarningQuota> -ProhibitSendQuota <SendQuota> -ProhibitSendReceiveQuota <SendReceiveQuota> -MailboxRetention <dd.hh:mm:ss> -DeletedItemRetention <dd.hh:mm:ss> -MaintenanceSchedule <MaintenanceSchedule> -QuotaNotificationSchedule <QuotaSchedule> -RetainDeletedItemsUntilBackup <RetainDeletedItemsUntilBackup>
Pour monter la base de données, exécutez la commande suivante :
Mount-Database "<Database Name>"
Répétez les étapes 3 et 4 pour chaque base de données à créer.
Annexe : Configuration du serveur
Cette section contient les informations suivantes :
Configuration de la gestion des enregistrements
Configuration du suivi des messages
Annexe Numéro d’unité logique/journal de base de données
Annexe Configuration de la base de données
Configuration de la gestion des enregistrements
Le tableau suivant est un exemple de configuration pouvant être appliqué au serveur de boîtes aux lettres, en fonction des besoins.
Important : |
---|
Les valeurs du tableau suivant sont des exemples et non des valeurs recommandées. Révisez ces valeurs afin qu’elles reflètent les valeurs réelles de votre organisation. |
Configuration de la gestion des enregistrements pour Contoso
Paramètre |
Valeur par défaut |
Valeur Contoso |
Nom de serveur |
<NomServeur> |
<ServerName> |
Planification de l’Assistant Dossier géré |
Sun.1:00 AM-Sun.9:00 AM, Mon.1:00 AM-Mon.9:00 AM, Tue.1:00 AM-Tue.9:00 AM, Wed.1:00 AM-Wed.9:00 AM, Thu.1:00 AM-Thu.9:00 AM, Fri.1:00 AM-Fri. 9:00 AM, Sat.1:00 AM-Sat.9:00 AM |
“Sun.6:00 PM-Sun.7:45 PM”, “Mon.6:00 PM-Mon.7:45 PM”, “Tue.6:00 PM-Tue.7:45 PM”, “Wed.6:00 PM-Wed.7:45 PM”, “Thu.6:00 PM-Thu.7:45 PM”, “Fri.6:00 PM-Fri.7:45 PM”, “Sat.6:00 PM-Sat.7:45 PM” |
Configuration du suivi des messages
Le tableau suivant est un exemple de configuration pouvant être appliqué au serveur de boîtes aux lettres, en fonction des besoins.
Important : |
---|
Les valeurs du tableau suivant sont des exemples et non des valeurs recommandées. Révisez ces valeurs afin qu’elles reflètent les valeurs réelles de votre organisation. |
Configuration du suivi des messages pour Contoso
Paramètre |
Valeur par défaut |
Valeur Contoso |
Nom de serveur |
<ServerName> |
<ServerName> |
Chemin d’accès au journal de suivi des messages |
Chemin d’installation d’Exchange>\TransportRoles\Logs\MessageTracking |
L:\exchsrvr\MessageTracking |
Journal de suivi des messages activé |
True |
True |
Âge maximal du journal de suivi des messages |
30.00:00:00 |
45.00:00:00 |
Taille de répertoire maximale du journal de suivi des messages |
1 Go |
20 Go |
Taille de fichier maximale du journal de suivi des messages |
10 Mo |
10 Mo |
Journalisation des objets du journal de suivi des messages activée |
True |
True |
Annexe Numéro d’unité logique/journal de base de données
Avec la résilience de boîte aux lettres, il n’est pas nécessaire d’effectuer des sauvegardes intégrales quotidiennes puisque la copie de base de données de boîtes aux lettres et d’autres fonctionnalités fournissent la première ligne de défense contre les dommages physiques et la perte des données. Il existe donc deux approches sur la manière d’effectuer des sauvegardes dans un environnement où la résilience de boîte aux lettres est activée :
Utilisez une application VSS (Volume ShadowCopy Service) compatible Exchange pour effectuer des sauvegardes et des restaurations, selon les besoins.
Utilisez les fonctionnalités de protection des données natives Exchange comme méthodologie de sauvegarde. Pour plus d’informations sur la protection des données natives Exchange, consultez la rubrique Présentation de la sauvegarde, de la restauration et de la récupération d’urgence de la bibliothèque Exchange Server 2010 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=187541).
En fonction de la méthode de sauvegarde sélectionnée, la disposition des numéros d’unité logique doit être modifiée.
Exchange 2010 prend en charge les architectures de numéro d’unité logique suivantes :
Un numéro d’unité logique par base de données Une architecture à un seul numéro d’unité logique par base de données signifie que la base de données et ses fichiers journaux correspondants se trouvent sur le même numéro d’unité logique. Pour déployer cette architecture, vous devez disposer d’une ou de plusieurs copies de vos bases de données et ne pas utiliser une solution VSS basée sur du matériel.
Deux numéros d’unité logique par base de données Dans Exchange 2010, avec un maximum de 100 bases de données, le nombre de numéros d’unité logique configuré dépend de votre stratégie de sauvegarde. Si votre objectif de temps de récupération est très court ou si vous utilisez des clones VSS pour une récupération rapide, il peut être judicieux de placer chaque base de données dans son propre numéro d’unité logique de journal des transactions et son numéro d’unité logique de base de données. Comme cette approche augmente le nombre de lettres de lecteur disponibles, des points de montage de volume doivent donc être utilisés.
Deux numéros d’unité logique par jeu de sauvegarde Un jeu de sauvegarde désigne le nombre de bases de données intégralement sauvegardées au cours d’une nuit. Une solution exécutant une sauvegarde complète sur 1/7ème des bases de données au cours d’une nuit (par exemple, une sauvegarde complète hebdomadaire ou bimensuelle avec des sauvegardes incrémentielles ou différentielles quotidiennes) peut réduire la complexité en plaçant toutes les bases de données à sauvegarder sur le même numéro d’unité logique de base de données et le même fichier journal associé. Cela peut réduire le nombre de numéros d’unité logique sur le serveur.
Deux numéros d’unité logique par structure de base de données/numéro d’unité logique
Exchange 2010 fait appel au service VSS inclus dans Windows Server 2008 pour créer des clichés instantanés de volume des bases de données et des fichiers journaux des transactions Exchange 2010. Pour obtenir des informations de base sur le service VSS, notamment les techniques de duplication et d’instantané, consultez le livre blanc intitulé Recommandations pour l'utilisation du service VSS avec Exchange Server 2003 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=122556).
Exchange 2010 vous permet de créer des instantanés VSS logiciels des copies de base de données actives et passives à la fois. La prise d’un instantané VSS de la copie passive décharge l’E/S de disque du numéro d’unité logique actif au cours de la phase de vérification de l’intégrité de la somme de contrôle (outil ESEUTIL) et de la copie sur bande ou sur disque qui s’ensuit.
La création de deux numéros d’unité logique (journal et base de données) pour une base de données est la meilleure méthode recommandée pour Exchange 2003. Dans Exchange 2010, avec un maximum de 100 bases de données, le nombre de numéros d’unité logique configuré dépend de votre stratégie de sauvegarde. Si votre objectif de temps de récupération est très court ou si vous utilisez des clones VSS pour une récupération rapide, il peut être judicieux de placer chaque base de données dans son propre numéro d’unité logique de journal des transactions et son numéro d’unité logique de base de données. En fonction du nombre de numéros d’unité logique requis, l’utilisation de points de montage de volume peut être nécessaire.
Les avantages de cette stratégie comprennent :
Une activation du service VSS basé sur le matériel au niveau de la base de données, qui assure la sauvegarde et la restauration d’une seule base de données.
La possibilité d’isoler les performances entre les bases de données lorsque les piles ne sont pas partagées entre plusieurs numéros d’unité logique.
Une fiabilité accrue : un problème fonctionnel ou d’endommagement dans un seul numéro d’unité logique affectera uniquement une base de données.
Cette stratégie est également recommandée pour les bases de données qui ne contribuent pas à la résilience des boîtes aux lettres.
Les inconvénients de cette stratégie comprennent :
100 bases de données utilisant la résilience de boîte aux lettres peuvent nécessiter 400 numéros d’unité logique, soit un nombre supérieur aux valeurs maximales des baies de stockage. 100 bases de données qui n’ont pas recours à la résilience de boîte aux lettres peuvent nécessiter 200 numéros d’unité logique, soit un nombre supérieur aux valeurs maximales des baies de stockage.
Un numéro d’unité logique distinct pour chaque base de données peut engendrer plusieurs numéros d’unité logique par serveur et, par conséquent, des coûts et une complexité accrus en matière d’administration.
Remarque : |
---|
Dans le tableau suivant, MP fait référence à un point de montage. X et Y font référence à des bases de données uniques. |
Approche de structure de numéro d’unité logique : deux numéros d’unité logique par base de données
Base de données |
Nom de la base de données |
Emplacement de la base de données |
Nom du fichier de la base de données |
Emplacement des journaux des transactions |
Numéro d’unité logique d’ancrage |
-- |
E:\ |
-- |
L:\ |
DBx |
NomGroupeDisponibilitéBoîteAuxLettres> MBX DB x |
MP:\MDB0x |
Priv0x.edb |
MP:\LOG0x |
DBy |
NomGroupeDisponibilitéBoîteAuxLettres> MBX DB y |
MP:\MDB0y |
Priv0y.edb |
MP:\LOG0y |
… |
… |
… |
… |
… |
Un numéro d’unité logique par structure de base de données/numéro d’unité logique
Une architecture à un seul numéro d’unité logique par base de données signifie que la base de données et ses fichiers journaux correspondants se trouvent sur le même numéro d’unité logique. Pour déployer cette architecture, vous devez disposer d’une ou de plusieurs copies et ne pas utiliser une solution VSS basée sur du matériel.
Les avantages que présente cette stratégie sont notamment les suivants :
Administration simplifiée du stockage et nombre réduit de numéros d’unité logique à gérer.
Réduction (potentielle) du nombre de tâches de sauvegarde.
Possibilité d’isoler les performances entre les bases de données lorsque les piles ne sont pas partagées entre plusieurs numéros d’unité logique.
Cette stratégie présente néanmoins l’inconvénient de limiter les procédures de sauvegarde et de restauration VSS basées sur du matériel (par exemple, les copies instantanées de clones). Pour plus d’informations détaillées sur le service VSS, consultez le livre blanc intitulé Recommandations pour l'utilisation du service VSS avec Exchange Server 2003 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=122556).
Remarque : |
---|
Dans le tableau suivant, MP fait référence à un point de montage. X et Y font référence à des bases de données uniques. |
Approche de structure de numéro d’unité logique : un numéro d’unité logique par base de données
Base de données |
Nom de la base de données |
Emplacement de la base de données |
Nom du fichier de la base de données |
Numéro d’unité logique d’ancrage |
-- |
E:\ |
-- |
DBx |
NomGroupeDisponibilitéBoîteAuxLettres> MBX Store X |
MP:\ \MDBx \LOGx |
PrivX.edb |
DBy |
NomGroupeDisponibilitéBoîteAuxLettres> MBX Store Y |
MP:\ \MDBy \LOGy |
PrivY.edb |
… |
… |
… |
… |
Structure de base de données/numéro d’unité logique
Exchange 2010 fait appel au service VSS inclus dans Windows Server 2008 pour créer des clichés instantanés de volume des bases de données et des fichiers journaux des transactions Exchange 2010. Pour obtenir des informations de base sur le service VSS, notamment les techniques de duplication et d’instantané, consultez le livre blanc intitulé Recommandations pour l’utilisation du service VSS avec Exchange Server 2003 (https://go.microsoft.com/fwlink/?LinkId=122556).
Exchange 2010 vous permet de créer des instantanés VSS logiciels des copies de base de données active et passive à la fois. La prise d’un instantané VSS de la copie passive décharge l’E/S de disque du numéro d’unité logique actif au cours de la phase de vérification de l’intégrité de la somme de contrôle (outil ESEUTIL) et de la copie sur bande ou sur disque qui s’ensuit.
La création de deux numéros d’unité logique (journal et base de données) pour une base de données est la meilleure méthode recommandée pour Exchange 2003. Dans Exchange 2010, avec un maximum de 100 bases de données, le nombre de numéros d’unité logique configuré dépend de votre stratégie de sauvegarde. Si votre objectif de temps de récupération est très court ou si vous utilisez des clones VSS pour une récupération rapide, il peut être judicieux de placer chaque base de données dans son propre numéro d’unité logique de journal des transactions et son numéro d’unité logique de base de données. En fonction du nombre de numéros d’unité logique requis, l’utilisation de points de montage de volume peut être nécessaire.
Les avantages de cette stratégie comprennent :
Une activation du service VSS basé sur le matériel au niveau de la base de données, qui assure la sauvegarde et la restauration d’une seule base de données.
La possibilité d’isoler les performances entre les bases de données lorsque les piles ne sont pas partagées entre plusieurs numéros d’unité logique.
Une fiabilité accrue : un problème fonctionnel ou d’endommagement dans un seul numéro d’unité logique affectera uniquement une base de données.
Cette stratégie est également recommandée pour les bases de données qui ne contribuent pas à la résilience des boîtes aux lettres.
Les inconvénients de cette stratégie comprennent :
100 bases de données utilisant la résilience de boîte aux lettres peuvent nécessiter 400 numéros d’unité logique, soit un nombre supérieur aux valeurs maximales des baies de stockage. 100 bases de données qui n’ont pas recours à la résilience de boîte aux lettres peuvent nécessiter 200 numéros d’unité logique, soit un nombre supérieur aux valeurs maximales des baies de stockage.
Un numéro d’unité logique distinct pour chaque base de données peut engendrer plusieurs numéros d’unité logique par serveur et, par conséquent, des coûts et une complexité accrus en matière d’administration.
Remarque : Dans le tableau suivant, MP fait référence à un point de montage.
En fonction de la configuration, DB2 peut contenir une base de données de boîtes aux lettres ou de dossiers publics.
Conception de numéros d’unité logique avec une solution VSS pour Contoso
Base de données | Nom de la base de données | Emplacement de la base de données | Nom du fichier de la base de données | Emplacement des journaux des transactions |
---|---|---|---|---|
Numéro d’unité logique d’ancrage |
-- |
E:\ |
-- |
L:\ |
DB1 |
NomServeur> MBX DB 1 |
MP:\MBXDB1 |
Priv01.edb |
MP:\LOG1 |
DB2 |
NomServeur> MBX DB 2 |
MP:\MBXDB2 |
Priv02.edb |
MP:\LOG2 |
PF2 |
NomServeur> PUB DB 2 |
MP:\PFMDB2 |
Pub02.edb |
MP:\PFLOG2 |
DB3 |
NomServeur> MBX DB 3 |
MP:\MBXDB3 |
Priv03.edb |
MP:\LOG3 |
DB4 |
NomServeur> MBX DB 4 |
MP:\MBXDB4 |
Priv04.edb |
MP:\LOG4 |
DB5 |
NomServeur> MBX DB 5 |
MP:\MBXDB5 |
Priv05.edb |
MP:\LOG5 |
DB6 |
NomServeur> MBX DB 6 |
MP:\MBXDB6 |
Priv06.edb |
MP:\LOG6 |
DB7 |
<NomServeur> MBX DB 7 |
MP:\MBXDB7 |
Priv07.edb |
MP:\LOG7 |
DB8 |
NomServeur> MBX DB 8 |
MP:\MBXDB8 |
Priv08.edb |
MP:\LOG8 |
DB9 |
NomServeur> MBX DB 9 |
MP:\MBXDB9 |
Priv09.edb |
MP:\LOG9 |
DB10 |
NomServeur> MBX DB 10 |
MP:\MBXDB10 |
Priv10.edb |
MP:\LOG10 |
DB11 |
NomServeur> MBX DB 11 |
MP:\MBXDB11 |
Priv11.edb |
MP:\LOG11 |
DB12 |
NomServeur> MBX DB 12 |
MP:\MBXDB12 |
Priv12.edb |
MP:\LOG12 |
DB13 |
NomServeur> MBX DB 13 |
MP:\MBXDB13 |
Priv13.edb |
MP:\LOG13 |
DB14 |
NomServeur> MBX DB 14 |
MP:\MBXDB14 |
Priv14.edb |
MP:\LOG14 |
DB15 |
NomServeur> MBX DB 15 |
MP:\MBXDB15 |
Priv15.edb |
MP:\LOG15 |
DB16 |
NomServeur> MBX DB 16 |
MP:\MBXDB16 |
Priv16.edb |
MP:\LOG16 |
DB17 |
NomServeur> MBX DB 17 |
MP:\MBXDB17 |
Priv17.edb |
MP:\LOG17 |
DB18 |
NomServeur> MBX DB 18 |
MP:\MBXDB18 |
Priv18.edb |
MP:\LOG18 |
DB19 |
NomServeur> MBX DB 19 |
MP:\MBXDB19 |
Priv19.edb |
MP:\LOG19 |
DB20 |
NomServeur> MBX DB 20 |
MP:\MBXDB20 |
Priv20.edb |
MP:\LOG20 |
DB21 |
NomServeur> MBX DB 21 |
MP:\MBXDB21 |
Priv21.edb |
MP:\LOG21 |
DB22 |
NomServeur> MBX DB 22 |
MP:\MBXDB22 |
Priv22.edb |
MP:\LOG22 |
DB23 |
NomServeur> MBX DB 23 |
MP:\MBXDB23 |
Priv23.edb |
MP:\LOG23 |
DB24 |
NomServeur> MBX DB 24 |
MP:\MBXDB24 |
Priv24.edb |
MP:\LOG24 |
DB25 |
NomServeur> MBX DB 25 |
MP:\MBXDB25 |
Priv25.edb |
MP:\LOG25 |
DB26 |
NomServeur> MBX DB 26 |
MP:\MBXDB26 |
Priv26.edb |
MP:\LOG26 |
DB27 |
NomServeur> MBX DB 27 |
MP:\MBXDB27 |
Priv27.edb |
MP:\LOG27 |
DB28 |
NomServeur> MBX DB 28 |
MP:\MBXDB28 |
Priv28.edb |
MP:\LOG28 |
DB29 |
NomServeur> MBX DB 29 |
MP:\MBXDB29 |
Priv29.edb |
MP:\LOG29 |
DB30 |
NomServeur> MBX DB 30 |
MP:\MBXDB30 |
Priv30.edb |
MP:\LOG30 |
DB31 |
NomServeur> MBX DB 31 |
MP:\MBXDB31 |
Priv31.edb |
MP:\LOG31 |
DB32 |
NomServeur> MBX DB 32 |
MP:\MBXDB32 |
Priv32.edb |
MP:\LOG32 |
DB33 |
NomServeur> MBX DB 33 |
MP:\MBXDB33 |
Priv33.edb |
MP:\LOG33 |
DB34 |
NomServeur> MBX DB 34 |
MP:\MBXDB34 |
Priv34.edb |
MP:\LOG34 |
DB35 |
NomServeur> MBX DB 35 |
MP:\MBXDB35 |
Priv35.edb |
MP:\LOG35 |
DB36 |
NomServeur> MBX DB 36 |
MP:\MBXDB36 |
Priv36.edb |
MP:\LOG36 |
DB37 |
NomServeur> MBX DB 37 |
MP:\MBXDB37 |
Priv37.edb |
MP:\LOG37 |
DB38 |
NomServeur> MBX DB 38 |
MP:\MBXDB38 |
Priv38.edb |
MP:\LOG38 |
DB39 |
NomServeur> MBX DB 39 |
MP:\MBXDB39 |
Priv39.edb |
MP:\LOG39 |
DB40 |
NomServeur> MBX DB 40 |
MP:\MBXDB40 |
Priv40.edb |
MP:\LOG40 |
DB41 |
NomServeur> MBX DB 41 |
MP:\MBXDB41 |
Priv41.edb |
MP:\LOG41 |
DB42 |
NomServeur> MBX DB 42 |
MP:\MBXDB42 |
Priv42.edb |
MP:\LOG42 |
DB43 |
NomServeur> MBX DB 43 |
MP:\MBXDB43 |
Priv43.edb |
MP:\LOG43 |
DB44 |
NomServeur> MBX DB 44 |
MP:\MBXDB44 |
Priv44.edb |
MP:\LOG44 |
DB45 |
NomServeur> MBX DB 45 |
MP:\MBXDB45 |
Priv45.edb |
MP:\LOG45 |
DB46 |
NomServeur> MBX DB 46 |
MP:\MBXDB46 |
Priv46.edb |
MP:\LOG46 |
DB47 |
NomServeur> MBX DB 47 |
MP:\MBXDB47 |
Priv47.edb |
MP:\LOG47 |
DB48 |
NomServeur> MBX DB 48 |
MP:\MBXDB48 |
Priv48.edb |
MP:\LOG48 |
DB49 |
NomServeur> MBX DB 49 |
MP:\MBXDB49 |
Priv49.edb |
MP:\LOG49 |
DB50 |
NomServeur> MBX DB 50 |
MP:\MBXDB50 |
Priv50.edb |
MP:\LOG50 |
Annexe Configuration de la base de données
Le tableau suivant est un exemple de configuration que vous pouvez appliquer à chaque base de données créée ou bien personnaliser pour chaque base de données sur le serveur, selon vos besoins.
Important : |
---|
Les valeurs du tableau suivant sont des exemples et non des valeurs recommandées. Révisez ces valeurs afin qu’elles reflètent les valeurs réelles de votre organisation. |
Configuration de la base de données pour Contoso
Paramètre |
Valeur par défaut |
Valeur Contoso |
Nom de la base de données |
NomServeur> MBX DB xx |
NomServeur> MBX DB xx |
Carnet d’adresses en mode hors connexion |
[None] |
Liste d’adresses en mode hors connexion par défaut |
Base de données de dossiers publics |
NomServeur> PUB DB xx |
NomServeur> PUB DB xx |
Quota d’avertissement |
1991680 KB |
1700000 KB |
Quota d’envoi |
2097152 KB |
1900000 KB |
Quota de réception et d’envoi |
2411520 KB |
2090000 KB |
Planification de la maintenance |
Sun.1:00 AM-Sun.5:00 AM, Mon.1:00 AM-Mon.5:00 AM, Tue.1:00 AM-Tue.5:00 AM, Wed.1:00 AM-Wed.5:00 AM, Thu.1:00 AM-Thu.5:00 AM, Fri.1:00 AM-Fri.5:00 AM, Sat.1:00 AM-Sat.5:00 AM |
“Sun.12:00 AM-Sun.4:00 AM”, “Mon.12:00 AM-Mon.4:00 AM”, “Tue.12:00 AM-Tue.4:00 AM”, “Wed.12:00 AM-Wed.4:00 AM”, “Thu.12:00 AM-Thu.4:00 AM”, “Fri.12:00 AM-Fri.4:00 AM”, “Sat.12:00 AM-Sat.4:00 AM” |
Planification des notifications de quota |
Sun.1:00 AM-Sun.1:15 AM, Mon.1:00 AM-Mon.1:15 AM, Tue.1:00 AM-Tue.1:15 AM, Wed.1:00 AM-Wed.1:15 AM, Thu.1:00 AM-Thu.1:15 AM, Fri.1:00 AM-Fri.1:15 AM, Sat.1:00 AM-Sat.1:15 AM |
“Sun.12:00 AM-Sun.12:15 AM”, “Mon.12:00 AM-Mon.12:15 AM”, “Tue.12:00 AM-Tue.12:15 AM”, “Wed.12:00 AM-Wed.12: 15 AM”, “Thu.12:00 AM-Thu.12:15 AM”, “Fri.12:00 AM-Fri.12:15 AM”, “Sat.12:00 AM-Sat.12:15 AM” |
Rétention des boîtes aux lettres |
30.00:00:00 |
30.00:00:00 |
Rétention des éléments supprimés |
14.00:00:00 |
14.00:00:00 |
Conserver les éléments supprimés jusqu’à la sauvegarde |
False |
True |
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